Renforcer l'entraide, la coopération
et la solidarité entre les institutions judiciaires

A propos

L’AHJUCAF est une association qui comprend cinquante cours judiciaires suprêmes francophones.

Elle a pour objectif de renforcer la coopération entre institutions judiciaires, notamment par des actions de formation et des missions d’expertise.

PRIX DE l’AHJUCAF POUR LA PROMOTION DU DROIT
L’AHJUCAF (Association des hautes juridictions de cassation ayant en partage l’usage du français) crée un prix destiné à récompenser l’auteur d’un ouvrage, d’une thèse ou d’une recherche, écrit ou traduit en français, sur une thématique juridique ou judiciaire, intéressant le fond du droit ou les missions, l’activité, la jurisprudence, l’histoire d’une ou de plusieurs hautes juridictions membres de l’AHJUCAF.

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Cameroun, Cour suprême

 


Oui.

S’agissant de la responsabilité professionnelle, celle-ci peut être engagée sur la base de la procédure disciplinaire prévue par le statut de la magistrature.
A cet égard, il ressort de l’article 50 dudit statut que le Ministre de la Justice informé d’un fait de nature à entraîner une sanction disciplinaire, après vérification, transmet le dossier au Président de la République qui, après avis du Conseil Supérieur de la Magistrature, décide de la sanction.

Les sanctions vont de la réprimande à la révocation.

Quand il s’agit d’un magistrat du parquet, le Ministre de la Justice, qui peut lui-même décider des sanctions légères que sont la réprimande, l’avertissement, transmet le dossier au Président de la République qui prend les sanctions les plus graves sans consulter le Conseil sus-évoqué.

Par ailleurs, le juge peut être pris à partie dans les cas prévus par la loi.
S’agissant de la responsabilité pénale, le juge répond de ses actes délictuels comme tout citoyen, à la seule différence qu’il bénéficie du privilège de juridiction.

 
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